L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo restera en détention jusqu'à
son procès, qui doit débuter le 10 novembre, a annoncé mardi la Cour
pénale internationale.
Les avocats de Laurent Gbagbo
demandait sa libération provisoire pour raison de santé. Leur demande a
été rejetée mardi 8 septembre par les juges de la Cour pénale
internationale (CPI) devant laquelle l’ex-chef de l’État ivoirien doit
être jugé le 10 novembre.
Ce n’est pas la première fois que la défense introduit une demande de libération provisoire pour raison de santé. À chaque fois, la CPI s’y est opposée.
Transféré fin 2011 à La Haye, Laurent Gbagbo doit répondre de quatre
chefs de crimes contre l’humanité perpétrés dans le contexte de ces
violences postélectorales.
Son procès doit débuter le 10 novembre.
Initialement, il aurait dû s’ouvrir à la mi-juillet, mais il avait été
reporté après que la CPI eut décidé de juger ensemble l’ancien président
et l’ancien chef des Jeunes patriotes, Charles Blé Goudé. Les
accusations contre les deux hommes sont en grande partie les mêmes.
mardi 8 septembre 2015
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