Le Journal L'INDEXEUR

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Ebola et sexualité : l’OMS prévient

L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a exhorté les survivants Ebola à plus de prudence lors de contacts sexuels afin de ne pas transmettre le virus à leur partenaire.

Un "plan Marshall" pour l’après-Ebola ?

Les présidents guinéen, sierra-léonais et libérien sont à Washington pour participer aux réunions de printemps de la banque mondiale et du FMI et trouver des fonds pour redresser leurs économies

Sénégal/Karim Wade : Une présidence carcérale

Le verdict est tombé lundi. Le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade est condamné à six ans de prison ferme en plus d’une amende de 210 millions d’euros pour enrichissement illicite.

Gabon : Qui était l’opposant André Mba Obame ?

Ex ministre de l’Intérieur du gouvernement d’Omar Bongo jusqu’en 2009, année du décès de ce dernier, celui qu’on appelle affectueusement AMO a changé de camp peu de temps après en fondant l’Union nationale, devenant ainsi un opposant face à Ali Bongo.

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dimanche 22 juin 2025

Alseny Sékou Bangoura : Le Juriste-Entrepreneur au Service de la Nation

Jeune, engagé et visionnaire, Alseny Sékou Bangoura incarne une nouvelle génération de leaders guinéens déterminés à inscrire leur action dans la transformation du pays. Juriste d’affaires de formation, PDG du Groupe Macof SA Guinée, et Président de la Fédération des Jeunes Leaders de Guinée (FEJLEG), il s’impose aujourd’hui comme une figure montante du leadership économique et social. Engagé aux côtés du CNRD pour la refondation de la Guinée, son parcours inspire, sa vision rassure, et son action.
Dans un contexte national marqué par de profondes mutations politiques, économiques et institutionnelles, de nouveaux visages émergent avec force et conviction. Parmi eux, Alseny Sékou Bangoura, jeune juriste d’affaires et entrepreneur aguerri, se distingue par sa double casquette d’homme d’affaires prospère et de leader engagé pour l’avenir de la Guinée.

Formé en droit des affaires, Alseny Sékou Bangoura fonde et dirige avec succès Macof SA Guinée, une entreprise dynamique évoluant dans plusieurs secteurs stratégiques du pays.

Sous sa direction, le groupe s’est imposé comme un acteur majeur de la création de valeur locale, en promouvant l’entrepreneuriat des jeunes, la transparence des affaires et l’innovation au service du développement durable. Son approche managériale inclusive et éthique fait de lui un modèle de leadership entrepreneurial en Afrique de l’Ouest. 

Mais au-delà de ses réussites dans le monde des affaires, Alseny Sékou Bangoura est également un fervent défenseur de la jeunesse guinéenne. À la tête de la Fédération des Jeunes Leaders de Guinée (FEJLEG), il milite activement pour l’éveil civique, la formation, l’autonomisation économique et l’implication politique des jeunes. Il croit fermement que la jeunesse constitue le socle du changement et le pilier de toute transformation durable. 

Son engagement politique et patriotique se manifeste également à travers son soutien constant aux actions du Comité National du Rassemblement pour le Développement (CNRD). Pour lui, la transition en cours est une opportunité historique de repenser les fondements de l’État, de réconcilier la nation avec ses aspirations profondes, et d’ouvrir de nouveaux horizons de développement inclusif.

“La Guinée a besoin d’une jeunesse debout, consciente et engagée. Il ne suffit plus de dénoncer, il faut agir, proposer, bâtir.” C’est en ces mots qu’il résume sa vision de leader et sa volonté de contribuer à l’émergence d’un État moderne, juste et prospère. 

Charismatique, accessible et animé par une foi inébranlable en l’avenir de la Guinée, Alseny Sékou Bangoura est sans conteste un acteur incontournable de la transition guinéenne. Entrepreneuriat, plaidoyer, leadership citoyen : il conjugue ses multiples talents pour faire de chaque défi, une opportunité. 

Naby Zakaria Touré

samedi 21 juin 2025

Djénabou Touré : La sentinelle électorale dont la Guinée a besoin

Au moment où la Guinée tourne une nouvelle page de son histoire politiqueavec la création de la Direction générale des Élections (DGE), il est impératif de confier cette mission cruciale à une personnalité dotée d'une vision, d'une expérience avérée et d'une intégrité sans faille.
En ce sens, Madame Camara Djénabou Touré, technocrate chevronnée, femme de terrain, patriote discrète et stratège électorale, s’impose comme l’évidence. 

Son parcours, marqué l’excellence et le service à la nation, en fait l’incarnation parfaite de la rigueur, de la compétence et de l’éthique dont la DGE a besoin pour garantir des élections libres, crédibles et apaisées. 

Une vision stratégique au service de la démocratie Par décret présidentiel du Général Mamadi Doumbouya en date du 14 juin 2025, la Direction générale des Élections a vu le jour, placée sous la tutelle du Ministère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation. 

Ce nouveau cadre institutionnel, pensé pour renforcer la gouvernance électorale, nécessite une direction experte, impartiale et résolument tournée vers le retour à l’ordre constitutionnel.

C’est là que s’illustre avec brio le profil de Madame Camara Djénabou Touré, dont la trajectoire impressionne par sa constance et son impact. Une expertise forgée sur le terrain et à l’international Titulaire d’un Diplôme d’Études Approfondies en Gestion et d’un Master en Gestion des Collectivités Territoriales, Madame Camara ne s’est pas contentée d’un parcours académique brillant : 

elle l’a miu service des communautés locales et de l’État, tant à l’échelle nationale qu’internationale. Actrice majeure du Programme National de Recensement à Vocation d’État Civil (PN-RAVEC), elle a contribué activement à moderniser le système d’état civil guinéen. 

Elle a affiné son expertise au gré de missions et formations en Belgique, en France et au Rwanda, des modèles reconnus en matière de gouvernance et de processus électoraux. 

Une femme d’action au cœur des institutions électorales Ancienne cadre de la CENA puis de la CENI, Madame Camara a toujours su conjuguer rigueur administrative et sens du dialogue. Elle a joué un rôle central dans le cadre de dialogue national instauré par le CNRD, posant les bases d’une concertation inclusive. 

Lauréate du prix « Femme de l’année » décerné par Le Journal des Actes Posés, elle a gagné la confiance du Président de la République qui l’a nommée Directrice nationale chargée des Affaires Politiques et de l’Administration Électorale. 
Leadership féminin, rigueur et intégrité Au-delà de ses fonctions, Madame Camara est une femme de principes. Épouse, mère, humble et résolue, elle incarne un leadership féminin rare, à la fois discret et profondément efficace.

Son calme inspire confiance, sa détermination rassure, et son sens élevé de l’État la distingue dans un environnement souvent marqué par les enjeux partisans. 

Elle place toujours l’intérêt supérieur de la nation au-dessus des ambitions personnelles. Une chance historique pour sortir de l’impasse Dans un contexte marqué par la recherche d’un retour apaisé à l’ordre constitutionnel, sa nomination à la tête de la DGE représenterait une opportunité historique. 

Son profil rassure aussi bien les acteurs politiques que les partenaires techniques et financiers. Elle incarne une nouvelle génération d’administrateurs électoraux : compétents, intègres, patriotes et sensibles à la paix sociale.

Comme le disait un auteur anonyme : « Voir le possible là où les autres voient l’impossible, telle est la clé du succès. » Madame Camara Djénabou Touré est cette clé. Elle est prête à ouvrir les portes d’une ère électorale nouvelle, empreinte de confiance, de transparence et de stabilité. 

Naby Zakaria Touré

mercredi 18 juin 2025

TRIBUNE /UFDG: CHRONIQUE D'UN NAUFRAGE ANNONCÉ

Quand l'échec d'un homme fait fuir les meilleurs 
Par Mamadou Bailo Diallo, secrétaire à la communication, le mouvement des réformateurs UFDG France, porte-parole, militant du parti depuis juillet 2003 sous l'ère bah Mamadou. 

Face à la déliquescence interne de l'UFDG et au départ des figures de proue qui en faisaient la vitalité, le silence des responsables est aussi assourdissant que révélateur. 

Dans cette tribune incisive, Mamadou Bailo Diallo, cadre actif du parti basé en France, appelle à une refondation urgente et identifie en Ousmane Gaoual Diallo l'alternative crédible pour ouvrir une nouvelle page politique. 

Quand les mots ne suffisent plus à couvrir les fissures Le silence qui règne aujourd'hui au sein de l'UFDG n'est pas un hasard : il est le résultat d'un affaissement profond du leadership, d'une fatigue idéologique et d'un enfermement stratégique. Pendant que certains s'emploient à parler fort, à multiplier les attaques et les invectives, c'est bien pour tenter de masquer le vide qu'ils ont eux-mêmes contribué à créer. 

Le départ progressif des cerveaux, des bâtisseurs, des cadres techniques et des pionniers du parti n'est pas un caprice d'ambition personnelle. C'est un signal d'alarme, une réaction saine face à la dérive d'un navire sans capitaine, qui tangue dans les eaux troubles d'un marais politique sans boussole. 

Cellou Dalein Diallo : un leadership arrivé à bout de souffle Personne ne saurait nier l'apport considérable de Cellou Dalein Diallo dans l'ancrage politique de l'UFDG et dans le combat pour l'alternance en Guinée. Mais en politique, les résultats sont les seuls juges.

Depuis 2007, l'homme incarne un espoir souvent déçu. Son score au premier tour de la présidentielle de 2010 restera historique, mais le rêve s'est effondré. Pourquoi ? Parce que la lucidité a manqué. L'excès de confiance, le manque d'anticipation, l'isolement progressif de la base et des cadres ont fini par délégitimer un leadership autrefois incontesté. 

Diriger un parti ne consiste pas uniquement à mobiliser; il faut aussi savoir déléguer, transmettre, faire émerger d'autres talents, et parfois s'effacer au nom de l'intérêt général. Cellou Dalein, hélas, n'a su faire ni l'un ni l'autre. Un nouveau visage pour un nouveau souffle: Ousmane Gaoual Diallo Aujourd'hui, l'avenir de l'UFDG ne peut reposer sur la nostalgie ni sur la peur du changement. 

Il est temps de croire en un renouveau. Et ce renouveau porte un nom : Ousmane Gaoual Diallo. Souvent critiqué, caricaturé ou attaqué, il demeure pourtant l'un des rares cadres du parti à avoir allié engagement de terrain, sens de l'État et fidélité aux idéaux de justice et de démocratie. 

Sa participation au gouvernement n'est ni un reniement, ni une compromission, mais l'expression d'un pragmatisme patriotique servir le pays là où les leviers d'action sont réels. Il n'a jamais tourné le dos à ses électeurs, ni à l'UFDG. Au contraire, il incarne cette nouvelle génération capable de conjuguer modernité, loyauté et efficacité. 

Plus jamais le cauchemar de 2010 Le changement à la tête du parti n'est plus une option. C'est une urgence. Ceux qui s'accrochent à la direction comme à un privilège personnel oublient que le parti ne leur appartient pas. Il appartient à ses militants, à sa base, à ses idées.

Aussi longtemps que la vie politique demeurera active, plus jamais un leader à l'image de Cellou Dalein Diallo ne devra incarner l'UFDG, si c'est pour nous replonger dans les frustrations et les désillusions du passé. 

L'heure est à la reconstruction, à l'ouverture, à la vérité. L'avenir du parti passe par le courage de la rupture. 

Mamadou Bailo Diallo secrétaire à la communication, du mouvement des réformateurs UFDG France, porte- parole du mouvement des réformateurs de l'Union Des Forces Démocratiques de Guinée, Fédération, France.


Aboubacar Camara alerte : « Quand les puissants s’affrontent, l’Afrique s’effondre »

Dans une prise de parole rare mais vibrante, Aboubacar Camara, transitaire de profession et citoyen guinéen, pousse un cri du cœur face au conflit latent entre Israël et l’Iran. À travers ses mots simples mais puissants, il pointe l’absurdité de cette guerre de puissances et ses conséquences désastreuses pour les peuples du Sud. Dans ce plaidoyer pour la paix et la diplomatie, il interpelle les grandes puissances internationales, leur rappelant que leurs conflits ne sont jamais sans effet sur les pays les plus vulnérables, notamment en Afrique. 
Je suis Aboubacar Camara, citoyen guinéen et transitaire de profession. En tant qu’homme du peuple, africain, observateur des réalités mondiales, je ne peux rester silencieux face à ce qui se joue entre Israël et l’Iran. 

Cette confrontation grandissante entre deux puissances, teintée de menaces nucléaires, m’apparaît profondément absurde, injuste et dangereuse pour l’humanité, surtout pour nous, Africains, souvent relégués au rang de dommages collatéraux. 

Je m’interroge : avec quelle légitimité Israël peut-il interdire à l’Iran de développer une puissance nucléaire alors qu’il n’a lui-même jamais ratifié la Convention de Rome ni adhéré formellement aux règles contraignantes sur la non-prolifération des armes nucléaires ?

Comment un pays, aussi influent soit-il, peut-il s’arroger le droit de dicter sa loi à un autre État souverain, sans passer par les instances internationales habilitées, telles que l’ONU ou l’AIEA ? Certes, il est vrai que l’Iran tient parfois des propos alarmants à l’encontre d’Israël, allant jusqu’à proférer des menaces d’effacement. 

Mais la réponse à ces provocations ne peut et ne doit jamais être l’escalade militaire. La seule voie acceptable dans un monde civilisé est celle du dialogue, de la diplomatie, de la médiation. Car, comme l’histoire nous l’a montré, aucune guerre n’a jamais résolu durablement un conflit. 

Elle ne fait qu’ajouter douleur, ruine, et instabilité. Ce conflit ne nous concerne peut-être pas directement, mais ses répercussions nous touchent de plein fouet : hausse des prix du carburant, déséquilibres économiques, incertitude géopolitique. Ce sont les pays comme la Guinée, les peuples africains, les économies fragiles qui paient le prix des affrontements entre les géants du monde. 

Voilà pourquoi je lance un appel pressant aux grandes puissances : États-Unis, Russie, Chine, Union européenne, pays du Golfe, mais aussi à toutes les forces morales et humanistes de ce monde. Il est temps d’agir pour la paix, pas pour la suprématie. 

Il est temps de parler, de désarmer, de respecter le droit international, et de protéger ceux qui n’ont ni missiles ni tribunes, mais qui subissent en silence. Je vous en conjure : stoppez cette marche vers l’abîme. 

Mettez fin aux provocations, engagez le dialogue, et rappelez-vous que, lorsqu’un conflit éclate entre les puissants, ce sont toujours les faibles qui enterrent leurs morts. 

 Alseny Camara

mercredi 7 mai 2025

Matam : le PDS Badra Koné lance les activités des projets de construction d’une maison des jeunes et la rénovation d’un centre de santé

Le centre de santé Madina, situé dans le quartier Madina Marché sera rénové et agrandi et le quartier Bonfi bénéficiera bientôt d’une maison des jeunes moderne tout situé dans la commune urbaine de Matam. C’est ce mardi 06 avril 2025 que le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné a officiellement lancé les activités de ces projets qui vont impactés positivement la vie des populations locales en posant la première pierre des travaux de rénovation du centre de santé de Madina Marché et la construction d’une maison des jeunes à Bonfi.
« Je me réjouis de prendre la parole ce matin à l’occasion du projet de rénovation et d’extension en hauteur (R+1) du centre de santé de Madina dans le cadre du programme annuel d’investissement 2024 de la commune de Matam. Avant tout propos, je voudrais saisir l’opportunité de la présente cérémonie pour adresser au nom de la délégation spéciale, des populations de Matam et en mon nom propre, notre reconnaissance au général Mamadi Doumbouya, président de la République, pour avoir impulsé ce programme social en le plaçant au cœur de l’action gouvernementale, et surtout pour avoir permis à Matam d’être inscrite au titre des heureux bénéficiaires », a confié le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné. 

Il a par ailleurs, profité de l’occasion pour rassurer les populations de Matam quant à sa volonté sincère de transformer l’image de la commune, avant de remercier et prier pour la gouverneure de la ville de Conakry, Hadja M’mahawa Sylla. « Que Dieu garde longtemps Mme la gouverneure, Hadja M’mahawa Sylla auprès de nous. Elle ne ménage aucun effort pour atteindre les objectifs fixés, aussi bien au niveau des 13 communes de Conakry que pour l’ensemble de la région ouest-africaine. Je demande à la population de Matam de lui exprimer sa gratitude. Aujourd’hui, ce que nous voulons, c’est le progrès de notre commune. »
En outre, le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné a rappelé l’importance de préserver les biens publics de Matam. « Si nous ne savons pas valoriser nos maisons de jeunes, nos hôpitaux ou nos cimetières, alors nous échouons. Les biens publics doivent profiter à tous et ne jamais être détournés à des fins personnelles ». Selon Sory Mohamed Fofana de l’entreprise ETS ALIOU et FRÈRES qui pilote le projet, « le projet comprend plusieurs volets : la construction d’un bloc de latrines de 14 cabines. L’édification d’un centre de santé répondant aux normes de LRST.

L’aménagement de la cour du centre. Le bâtiment principal sera constitué de deux niveaux : -Rez-de-chaussée : -Deux bureaux, -Une salle de stockage, -Une salle de réfectoire, -Un magasin, -Premier étage (R+1) :, -Quatre bureaux, -Une salle d’attente, -Une salle polyvalente, Trois toilettes ». Moussa Camara, le chef de quartier de Madina Marché, a exprimé sa satisfaction. « Nous enregistrons plus de 2 000 visiteurs par jour. Madina est un carrefour où tout le monde passe. 

Ce centre rénové va soulager la population et améliorer considérablement la prise en charge sanitaire dans notre localité. C’est une véritable fierté. » A Bonfi, le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné a laissé entendre ceci : « mes cinq années en tant qu’adjoint au maire m’ont permis de mieux comprendre les besoins des citoyens. Dès ma nomination, j’ai tenu à aller sur le terrain avec toute mon équipe pour identifier les problèmes réels de la population. Cette infrastructure offrira à notre jeunesse un cadre d’échange, d’encadrement et d’épanouissement, en droite ligne avec les objectifs du programme Simandou 2024 de la transition. »
Bien avant la livraison de cette maison des jeunes aux normes modernes et futuristes, les habitants de Bonfi se sont montrés heureux de l’accueillir. La preuve, ils sont sortis nombreux assister à la cérémonie de lancement des travaux de construction de leur maison des jeunes. « Ce foyer des jeunes servira à accueillir les activités socio-culturelles de notre quartier. 

Nous profitons de l’occasion pour traduire notre reconnaissance au président de la République, général Mamadi Doumbouya, au gouvernement de transition, à Mme la gouverneure de la ville de Conakry, Hadja M’mahawa Sylla et au Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné et à toute son équipe d’avoir permis à Bonfi d’avoir une maison des jeunes. M. le Président de la Délégation Spéciale de Matam nous a aussi honorés en procédant au lancement des activités de projets de construction de cette maison des jeunes », a salué Fodé Momo Sylla, le chef de quartier de Bonfi.
Le chef de quartier de Bonfi, a lancé un appel à ses concitoyens pour qu’ils veillent activement à la bonne exécution de ce projet, pour le bien de tous. « Cette cérémonie de pose de la première pierre marque non seulement le début d’un projet structurant pour la jeunesse de Bonfi, mais elle symbolise aussi l’engagement concret du Président de la Délégation Spéciale de Matam Aliou Badara Cheickhna Koné et de son équipe à répondre aux aspirations locales. 

À travers cette initiative, la commune de Matam renforce sa volonté de créer des espaces d’épanouissement, de formation et de cohésion sociale pour ses jeunes, véritables piliers de l’avenir », souligne le chef de quartier de Bonfi. 

Alseny Camara

lundi 21 avril 2025

Fête de Pâques à Matam : les fidèles chrétiens appelés à prier pour la paix et l’unité nationale

Après quarante jours de jeûne et de prière, la Pâque a été célébrée dans les temples et églises de la Guinée, dans la ferveur, ce dimanche 20 avril 2025. La célébration de la pâque est pour les chrétiens un événement d’une portée hautement spirituelle. Car elle symbolise la résurrection du Christ, la victoire de la mort sur la vie.
A cette occasion, le premier magistrat de la commune de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné, a, en sa qualité de président de la délégation spéciale de Matam, exhorté les fidèles chrétiens de la République de Guinée en générale et celle de la communauté chrétienne de Matam en particulier à prier sans relâche afin que le Tout-Puissant bénisse chaque jour notre pays et ses habitants. Priez pour le président de la République le Général Mamadi Doumbouya et pour les dirigeants de notre pays, et priez pour l’unité nationale, mais surtout prier pour la paix, cette denrée précieuse pour notre chère patrie la Guinée. 

A cette occasion de la commémoration de la résurrection de Jésus Christ, le président de la délégation spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné, à au nom de toute la municipalité de Matam, « je tiens à vous adresser nos plus chaleureuses pensées en cette période de Pâques. Que cette fête remplie de sens et de renouveau soit pour vous l'occasion de célébrer dans la joie et la sérénité, entourés de vos proches.

En ces temps où la solidarité et l'espoir sont plus que jamais nécessaires, que la lumière de Pâques illumine vos cœurs et vous apporte le réconfort et inspiration. Puisse cette période festive être synonyme de paix, d'amour, de partage et de fraternité entre tous les fils et filles de notre nation. Amen », a-t-il déclaré le PDS de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné. 

Alseny Camara

mercredi 16 avril 2025

Gratuité de la carte d’identité biométrique et acte de naissance numérisé : le PDS Badra Koné appelle ses concitoyens de Matam à la mobilisation, pour bénéficier ses droits fondamentaux

Le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Badra Aliou Cheickna Koné, a lancé un appel à la mobilisation de la population de sa circonscription autour du processus de la gratuité de la délivrance de la carte nationale d’identité biométrique et de l’extrait d’acte de naissance numérique pour tous les Guinéens, ce mardi 15 avril 2025, dans l’enceinte de la mairie de Matam, lors du lancement de cette opération.
L’objectif principal de cette opération est de doter les services de l’état civil guinéen des données personnelles fiables, mais aussi elle consiste à donner gratuitement à chaque citoyen guinéen une carte nationale d’identité biométrique et de l’extrait de naissance numérique, afin de s’acquitter de leurs droits fondamentaux. 

Après avoir lancé officiellement, cette opération de recensement biométrique, le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Badra Aliou Cheikna Koné a saisi cette occasion pour sensibiliser les populations de sa circonscription sur les valeurs de ces documents fondamentaux, « C’est une obligation pour tout bon citoyen de se faire recenser. Être citoyen ne se limite pas à porter le nom de citoyen guinéen. C’est aussi être reconnu par l’État comme tel, bénéficier de ses droits fondamentaux, et pouvoir voter. »
Par ailleurs, le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Badra Aliou Cheikna Koné a appelé les habitants de sa commune à se mobiliser pour se faire recenser, afin qu’ils puissent bénéficier de leurs droits fondamentaux. « En tant que premier citoyen de la commune de Matam, je viens de montrer l’exemple en me faisant enrôler publiquement. 

Dans les jours à venir, nous mènerons une campagne de sensibilisation pour mobiliser massivement les populations, afin que chacun joue pleinement sa partition. Nous veillerons à ce que toutes les personnes ayant atteint l’âge requis figurent dans la base de données de l’état civil guinéen », a affirmé le maire Badra Koné. 

A rappeler que, c’était le dimanche 02 février 2025 que le président général Mamadi Doumbouya a pris cet acte majeur dans un décret lu sur la télévision nationale (RTG) par le Général Amara Camara, porte-parole de la Présidence, le Chef de l’État a instauré la gratuité dans la délivrance de la carte d’identité nationale biométrique en Guinée.
Notons que, les conditions pour bénéficier de la gratuité de la carte d’identité biométrique, selon l’arrêté conjoint signé le 25 mars 2025 par les ministres de l’Administration du territoire, de la Sécurité et de la Protection civile, et celui des Affaires étrangères. Fixant les conditions et modalités d’application du décret D/2025/021/PRG/CNRD/SGG instaurant la gratuité de la carte nationale d’identité biométrique pour la première demande en République de Guinée. 

Les citoyens devront fournir l’un des documents ci-après. 
Pour l’obtention d’un extrait de naissance numérisé: l’ancien extrait de naissance, le jugement supplétif transcrit, la fiche d’identification du PN RAVEC. 

Pour l’obtention de la carte nationale d’identité biométrique: l’extrait de naissance numérique. 

Alseny Camara

dimanche 6 avril 2025

Matam : le PDS Badra Koné et son équipe s'engagent dans la lutte contre l'insalubrité

La commune de Matam, sous la houlette de son président de la délégation spéciale, Badra Aliou Cheickna Koné, a récemment lancé une vaste opération de lutte contre l'Insalubrité. Cette initiative ambitieuse du président de la République, le général Mamadi Doumbouya qui a donné l’ordre à tous les président de la délégation spéciale de grand Conakry de lutter contre l’insalubrité.
Cette initiative du président général Mamadi Doumbouya vise à transformer la ville de Conakry un modèle de propreté. Le jeudi 06 mars dernier, une cérémonie officielle marquant le début de cette campagne de curage des caniveaux et de ramassage d’ordis a eu lieu au carrefour Donka sur l’autoroute Fidel Castro. Le PDS Badra Koné entouré de ses chefs de quartier ont lancé cette campagne, symbolisant ainsi le commencement d'une action concertée contre la saleté qui gangrène certains quartiers de la commune. 

Le samedi 05 avril 2025, dans la continuité de cette opération, le carrefour Kénien, notamment sur la route de l’autoroute Fidel Castro et les abords de la casse, ont été les principaux points d’intervention. Ces zones ont fait l’objet d’un assainissement rigoureux, fidèle à l’esprit de cette journée citoyenne. A cette occasion, le président de la délégation spéciale de Matam, Badra Aliou Cheickna Kone a appelé les habitants de Matam à s'impliquer activement dans cette lutte, soulignant que la propreté de la ville est l'affaire de tous.
« Citoyennes et citoyens de Matam, adoptons des gestes responsables au quotidien. La propreté de notre environnement est un acte de civisme et de patriotisme. Être un bon citoyen, c’est aussi veiller à la salubrité de notre commune », a-t-il conseillé, le président de la délégation spéciale de Matam, Badra Aliou Cheickna Kone. 

Cette campagne de lutte contre l'insalubrité démontre la détermination des autorités locales et de la population à faire de Matam un lieu où il fait bon vivre. Avec un engagement sans faille et une volonté commune, la ville est sur la voie d'une transformation positive qui profitera à tous ses habitants. 

Alseny Camara

mardi 1 avril 2025

Les prochaines élections en Guinée : réception d’un lot de kits d’enrôlement biométrique

Le gouvernement guinéen, à travers le ministre de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation a réceptionné le tout premier lot des kits d’enrôlement biométrique, ce mardi 1er Avril 2025 à l’aéroport International Ahmed Sékou Touré. L’arrivée de ces kits d’enrôlement biométrique va permettre au gouvernement de transition d’accélérer au processus de recensement sur l’ensemble du territoire national.
Selon Dame Zenab Touré, Directrice nationale des affaires politiques et de l’administration électorale, cette démarche s’inscrit dans le cadre du programme national de recensement administratif à vocation d’état civil. «Ces kits sont composés d’ordinateurs portables, de capteurs d’empreintes digitales et d’iris, ainsi que d’un système GPS permettant de géolocaliser les opérations de recensement », a-t-elle expliqué. 

Le gouvernement guinéen prévoit à terme un total de 6000 kits, avec un second lot attendu dans les prochains jours. Cette stratégie a pour objectif de couvrir efficacement l’ensemble du territoire national et les 35 circonscriptions électorales à l’étranger, incluant les ambassades et consulats. 

La nouvelle technologie introduite permet non seulement de réduire les risques de fraude électorale, mais aussi d’assurer une affectation précise des électeurs à leurs centres de vote. «Chaque citoyen enrôlé se verra attribuer un numéro personnel d’identification unique, et il ne sera plus possible d’être enrôlé dans un autre secteur une fois la procédure terminée », a-t-elle précisé. 

L’introduction de l’authentification par empreinte digitale pour les agents recenseurs constitue également une innovation majeure. Cette mesure vise à éviter les remplacements frauduleux et à garantir l’intégrité du processus. Cette phase d’enrôlement s’inscrit dans un agenda plus large d’organisation des élections en Guinée, comme prévu par le chronogramme du CNRD. 

Après le recensement général de la population et le recensement administratif à vocation d’état civil, la constitution d’un fichier électoral fiable reste une priorité. 

Selon Madame Touré, « des experts internationaux, notamment de l’Organisation internationale de la Francophonie, ont validé ces équipements pour leur conformité aux standards internationaux», a-t-elle conclu. 

Alseny Camara

lundi 31 mars 2025

Célébration de l’Aïd el-Fitr : le PDS Badra Kone appelle à la paix et à la cohésion sociale à Matam

Les musulmans de la commune de Matam, à l’instar de tous leurs coreligionnaires du monde, ont célébré la fin du mois du jeûne, le dimanche 30 mars 2025. Présent aux côtés de ses concitoyens musulmans dans la cour de ladite commune qui a servi à la grande prière de l'Aïd el-Fitr, le premier magistrat de la commune de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné a appelé les fidèles musulmans à continuer de prier pour la paix en Guinée.
Au terme de la prière dirigée par l’imam de la mosquée centrale de Matam, le président de la délégation spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné a exprimé son souhait de voir les leaders religieux de jouer un rôle crucial dans le maintien de la paix en cette période de transition. « Nous savons que nous sommes dans une période de transition. Je demanderai aux imams de prier afin qu’il y ait une transition réussie et apaisée. Que nous semions la graine de l’union et de la cohésion sociale, sans distinction de race, d’ethnie ni de religion », a déclaré le PDS de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné. 

En outre, le président de la délégation spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné, s’est adressé à la communauté musulmane de sa juridiction. Il l’a incité à la paix et à la cohésion sociale. Le président de la délégation spéciale de Matam a demandé de prier pour le président colonel Mamadi Doumbouya. « Il s’agit de permettre au président colonel Mamadi Doumbouya de continuer son travail de développement du pays. 

Le président colonel Mamadi Doumbouya est une chance pour la Guinée. Il a commencé un travail de développement. Pour continuer, il a besoin de notre soutien et de notre prière. Nous devons être unis dans la paix pour préserver ce qui est déjà fait. Cela va faciliter la réalisation de ce qui reste à faire. Car sans la paix, il n’y pas de développement.
Je voudrais vous féliciter pour avoir accompli, dans le partage et la solidarité, le rituel de ce mois de pénitence. Puissent vos prières continuer de maintenir la cohésion, la fraternité et le vivre ensemble dans notre belle cité. En cette période de transition, je vous exhorte à prier sans relâche pour les populations de Matam, les Guinéens, les autorités et pour la paix dans notre pays », disait le premier magistrat de la commune de Matam Badra Kone. 

 Le président de la délégation spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné a par ailleurs réaffirmé son engagement à promouvoir la paix et le vivre-ensemble dans la commune de Matam. Il a assuré que son administration mettra tout en œuvre pour favoriser un climat de sérénité et d’harmonie sociale à Matam. 

 Enfin, le président de la délégation spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné, a adressé ses vœux de fête d'Eid el-Fitr à ses concitoyens. « En cette journée bénie marquant la fin du Ramadan, je tiens à adresser à chacune et chacun de vous mes vœux les plus sincères. Que cette fête soit un moment de partage, de paix et de solidarité. Qu’Allah accepte nos prières, raffermisse nos liens et nous accorde la prospérité et la sérénité. » 

 Alseny Camara

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