Incapable de mettre hors d’état de nuire un certain Aboubacar Soumah, autoproclamé secrétaire général du syndicat des enseignants (le SLECG), qui prend d’assaut des médias et des réseaux sociaux pour lancer des mots d’ordre de grève non sans effets : morts d’élèves, viol d’une jeune élève, destruction de biens publics et privés et paralysie du système éducatif.
Soumah qui, dans un Etat responsable, devait être dans les mains de la justice pour avoir, par ses appels à la grève, incité à la violence, est plutôt peinard comme Baptiste, nargue l’Etat et pousse l’outrecuidance jusqu’à poser un lapin au gouvernement qui, toute honte bue, a voulu négocier avec un outlaw.
Des mesures prises ce dimanche soir –bien que tardivement-sont un début de la gestion responsable d’une crise de trop. Pourvu que le gouvernement aille jusqu’au bout. Ce qui n’est pas évident quand on sait qu’il est un adepte de la démocratie des opinions entretenues par une poignée d’illuminés sur des réseaux sociaux.
Source: guinee7.com
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