Lors de cette cérémonie, initiée par le président du Conseil National de la Transition (CNT), Dr Dansa Kourouma, une rupture de jeûne placée sous le thème : « Prions pour la Guinée, son Président et le CNT, afin que Dieu les guide vers la paix et la prospérité ». Le président du CNT, Dr Dansa Kourouma et le président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné ont partagé les repas avec les populations de Matam pour leur témoigner leur solidarité pendant ce mois de pénitence pour les musulmans et les chrétiens.
Lors de la cérémonie qui s'est tenue dans l’enceinte de la Mairie de Matam, en présence de quelques conseillers du CNT, les membres de la délégation spéciale de Matam, l’administration communale, des imams des mosquées, les chefs des vingt-quatre (24) quartiers et les citoyens, il y’a eu une série de prières en faveur de la paix et de la quiétude sociale.
Le président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné, a salué Dr Dansa Kourouma, président du Conseil National de la Transition (CNT), pour avoir choisi d'être aux côtés des populations de sa collectivité. Pour lui, la présence du président du Conseil National de la Transition (CNT), montre son attachement à la paix et à la cohésion sociale et dans le renforcement de vivre ensemble qui traduit « les valeurs de générosité, d'humilité et de solidarité ». Il a formulé des bénédictions pour le succès des missions du Président de la République, le général Mamadi Doumbouya et les conseillers du CNT.
Dr Dansa Kourouma, président du Conseil National de la Transition (CNT) a saisi cette occasion pour féliciter et encourager Aliou Badra Cheickna Koné. « Je remercie le chef de l’État pour la confiance qu’il a placée en moi, en Monsieur le Maire, aux membres du CNT et à la délégation spéciale de Matam. Cette confiance nous engage à raffermir les liens avec la population, afin qu’elle ressente la proximité et l’attention des autorités à son égard. »
Il a également souligné l’importance du rôle des dirigeants locaux. « Le premier messager du chef de l’État dans la commune, c’est le maire. Ensuite vient le représentant du Parlement. Nous avons tous une mission : transmettre aux populations les bonnes intentions et les actions bienveillantes du chef de l’État.
Le Ramadan et le Carême chrétien, qui coïncident cette année, sont une occasion non seulement de privation et de prière, mais aussi de communion avec la population. Cela nous rappelle que devant Dieu, il n’y a ni riche ni pauvre, ni chef ni subordonné. Seuls comptent les bienfaits accomplis sur terre. »
Alseny Camara
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