Mme
Aribot M’mah Savané est la Directrice Générale de l’Office Nationale de
Contrôle Sanitaire des Produits de la Pêche de l’Aquaculture (ONSPA). Depuis
quelques années, elle gère cette direction qui est chargé de contrôle Sanitaire des Produits de la Pêche de
l’Aquaculture, qui se fait à plusieurs niveaux. D’abord avant que les pirogues
ou les navires n’aillent à la pêche et après la pêche.
Elle insiste à ce que dans les usines de
traitement des produits aussi, qu’il y ait de contrôle. Selon elle, c’est tous
ces contrôles qui leurs permettent de certifier les produits, soit à l’intérieur du pays, soit au
marché sous régional ou au marché en dehors de l’Afrique.
Madame Aribot et son équipe maintiennent de
changements d’habitude quand même, bien que tout n’est pas été réalisé dans sa
mission, mais ceux qui évoluent dans le secteur de la pêche, des mareyeuses ou
mareyeurs savent maintenant qu’’il y a des exigences qu’il faut respecter qu’il
n’a pas besoin de leurs dire, mais chaque fois, il faut les rappelés. Durant
cette année, elle s’affiche comme ambition à ce que la Guinée sorte de la
situation par rapport à la suspension de l’exportation des produits de la pêche
par l’Union Européenne qui est un marché vraiment porteur.
Avec son équipe, elle est entrain de mettre
en place un plan stratégique de sorti de crise, au fur et à mesure qu’ils
élaborent le plan il ya des actions qu’ils peuvent vite mener, ils mènent ces
actions. Dans le plan, ils sont ne pas les seuls impliqués dans la suspension,
il ya son office, des services d’Etat, partenaire comme le laboratoire, comme
la SEG, l’IJNF puis il ya aussi les
opérateurs économiques qui évoluent dans le secteur de l’industrie et de la
pêche.
Par ailleurs, Mme Aribot rassure « Quand
on contrôle un produit on voit que le produit n’est pas bon, on procède à la
conciliation. On concilie le produit on
fait les prélèvements et on l’envoi au laboratoire. Si les examens du
laboratoire révèlent que vraiment le produit n’est pas bon, on fait le saisi
puis on informe le propriétaire. On lui
dit ce produit n’est pas bon il est impropre à la consommation, dans ce cas on
doit l’audité ».
En outre, la Directrice Générale de l’Office
Nationale de Contrôle Sanitaire des Produits de la Pêche de l’Aquaculture
(ONSPA), nous a laissé entendre que sa direction a des difficultés, tel que des
problèmes de laboratoire. « si on avait notre propre laboratoire ça allait un
peu diminué le transport des échantillons jusqu'à l’extérieur. Il y a également
le problème de budget, le problème de moins financier de moins matériel et
aussi il faut procéder à la formation des jeunes cadres. Parce que vous savez
depuis un certain temps l’Etat recrute les cadres ils n’ont pas encore la
maitrise du métier du secteur santé, donc il faut procéder a leur
formation ».
Alseny Camara
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