Les pays d'Afrique de l'Ouest se savent désormais sous la menace. Quelles
mesures ont-ils pris pour éviter de connaître les mêmes drames qu'à Bamako,
Ouagadougou ou Grand-Bassam. Revue de détails des dispositifs nationaux.
Après l’attentat d’Ouagadougou, la sécurité a été revue à la hausse devant
les grands hôtels de la capitale. Les renforts policiers étant payants (comme
au Mali), certains hôteliers ont refusé d’adopter ces mesures supplémentaires.
De leur côté, les autorités assurent que les patrouilles de police et de
gendarmerie ont été augmentées à Ouaga.
L’attaque meurtrière du 15 janvier a aussi accéléré le lancement de
l’Agence nationale du renseignement (ANR), le nouvel organe de coordination des
services de renseignements burkinabè, confiée le 9 mars au colonel François
Ouédraogo. Plusieurs opérations de ratissage ont également eu lieu dans le pays
ces dernières semaines, notamment dans la région de Tapoa, près de la frontière
avec le Niger.
Source: jeuneafrique
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