« Ce qu’il faut retenir comme finalité, au terme de toutes les opérations de biométrie c’est de réaliser un fichier unique de Gestion administrative des soldes. Ce qui voudrait dire qu’une fois le travail réalisé à Conakry et à l’intérieur du pays, nous devons avoir désormais un seul agent, un seul matricule, un seul salaire.
L’effectif global prévisionnel est de 117.017, mais sur la base du pré-enrôlement, on se retrouve à peu près à 87 mille agents qui sont censés passer la biométrie.
C’est-à-dire ceux-là qui se sont effectivement fait enrôler, qui ont soumis leurs dossiers. Même si vous êtes pré-enrôlés, si vous n’avez pas soumis votre dossier, vous n’allez pas être enrôlés pour la biométrie. Peut-être il y aura un rattrapage. La biométrie constitue le dernier passage des agents et le traitement reviendra aux équipes techniques et aux prestataires de réaliser le traitement et de sortir le rapport avant de réaliser le fichier unique », a-t-il indiqué.
Pour sa part, le directeur général de l’opérateur en charge de la biométrie du ministère de la fonction publique Diao Diallo, a fait comprendre que cette opération a commencé par le pré-enrôlement, plusieurs équipements ont été livrés pour cette biométrisassions.
Des opérateurs seront déployés à travers tout le pays.
Aussi, plus de 8 centres d’enrôlement seront ouverts le mardi prochain, plusieurs autres seront ouverts aussi bien à Conakry qu’à l’intérieur du pays. La machine peut enrôler au moins 60 fonctionnaires par jour, à l’aide des tablettes, la capture des empreintes des 10 doigts, la prise de photos et la signature par l’agent enrôlé.
Source : mosaiqueguinee.com
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