Le Journal L'INDEXEUR

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Ebola et sexualité : l’OMS prévient

L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a exhorté les survivants Ebola à plus de prudence lors de contacts sexuels afin de ne pas transmettre le virus à leur partenaire.

Un "plan Marshall" pour l’après-Ebola ?

Les présidents guinéen, sierra-léonais et libérien sont à Washington pour participer aux réunions de printemps de la banque mondiale et du FMI et trouver des fonds pour redresser leurs économies

Sénégal/Karim Wade : Une présidence carcérale

Le verdict est tombé lundi. Le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade est condamné à six ans de prison ferme en plus d’une amende de 210 millions d’euros pour enrichissement illicite.

Gabon : Qui était l’opposant André Mba Obame ?

Ex ministre de l’Intérieur du gouvernement d’Omar Bongo jusqu’en 2009, année du décès de ce dernier, celui qu’on appelle affectueusement AMO a changé de camp peu de temps après en fondant l’Union nationale, devenant ainsi un opposant face à Ali Bongo.

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mardi 15 juillet 2025

Ousmane Bangoura ‘’DIEGO’’: « Le Syli est dans mon sang. Je suis prêt à reconstruire notre football »

Ancien international guinéen, Ousmane Bangoura ‘’DIEGO’’ se positionne officiellement pour diriger le Syli national de Guinée, toutes catégories confondues. Dans une interview exclusive qu’il a accordé à votre journal L’INDEXEUR, il dévoile une vision ambitieuse, structurée et profondément enracinée dans l’amour du maillot. Entre autodiagnostic du naufrage du football guinéen, volonté de remettre un système de jeu cohérent dès la base, et appel à l’unité des techniciens du pays, Ousmane Bangoura se livre avec sincérité, passion et lucidité. Rencontre avec un homme de terrain, déterminé à tourner la page des échecs pour écrire un nouveau chapitre de gloire pour le football guinéen. 
Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? 
Je suis Ousmane Bangoura ‘’DIEGO’’, ancien joueur du Syli national de Guinée. Aujourd’hui, j’ai décidé de poser officiellement ma candidature pour le poste de sélectionneur de l’équipe A du Syli, ainsi que pour l’encadrement technique de toutes les autres catégories du Syli. J’estime avoir l’expérience et la vision nécessaire pour apporter un nouveau souffle à notre football. 

La Fédération guinéenne de football cherche un staff technique solide. Quelles seraient vos priorités si vous étiez retenu ? 
Ma première mission sera de rassembler. Il est impératif de créer une équipe technique soudée, avec un fonctionnement basé sur la collaboration. Ensuite, je mettrai en place un projet de jeu clair, basé sur le système 4-3-3 ou 4-4-2, qui a toujours convenu à nos joueurs. Ce schéma doit devenir une culture, appliquée dans toutes les catégories. L’objectif est que chaque joueur, en montant en grade, soit déjà familiarisé avec le système du Syli. Cette cohérence tactique est essentielle pour construire dans la durée. 

Vous ne vous limitez pas au poste de sélectionneur. Êtes-vous prêt à servir le football guinéen sous d’autres formes ? 
Bien sûr. Ce que je veux, c’est apporter mon expertise, mon vécu de joueur professionnel et ce que j’ai appris en France. Ce n’est pas uniquement une ambition personnelle, mais un engagement patriotique. Si la FEGUIFOOT me sollicite pour un autre poste, je répondrai présent. J’ai le Syli dans la peau. À chaque hymne national, même à la télévision, j’en ai la chair de poule. Je veux contribuer à remettre le football guinéen à la place qu’il mérite. 

Qu’apportez-vous de nouveau que vos prédécesseurs n’ont pas mis en place ? 
Ma plus grande force, c’est que je connais les réalités du football guinéen, ses manques et ses potentialités. Aujourd’hui, nos joueurs sont perdus tactiquement en Europe car la formation à la base est défaillante. Il faut former nos entraîneurs, inculquer une méthode, une philosophie de jeu cohérente dès les petites catégories. Je suis prêt à travailler main dans la main avec tous les techniciens, dans un esprit de partage et de progression collective. Le Syli doit retrouver un fond de jeu identifiable, une vraie signature. 

Le Syli vient de rater la qualification à la prochaine CAN. En tant que professionnel, comment vivez-vous cet échec ? 
C’est une immense humiliation nationale. Il ne faut pas tourner autour du pot. Ne pas participer à une CAN avec les talents que nous avons, c’est une faute professionnelle, un échec technique collectif. Oui, les joueurs ont fauté, mais la responsabilité incombe aussi au staff qui n’a pas su motiver, ni organiser efficacement le groupe. On ne peut pas perdre deux fois sur le terrain contre une équipe supposée plus faible et prétendre à autre chose. Il faut maintenant assumer, analyser, corriger et se projeter vers l’avenir avec sérieux. 

Concrètement, que proposez-vous pour éviter de revivre cet échec ? 
Je propose une réforme structurelle : un fond de jeu travaillé dès les catégories inférieures, des regroupements fréquents même hors compétition, une meilleure gestion humaine des joueurs, et surtout, un staff bien formé, recyclé régulièrement, comme cela se fait ailleurs. Ce qui était valable il y a trois ans ne l’est plus aujourd’hui. Il faut s’adapter à l’évolution constante du football mondial. Le changement, c’est maintenant ou jamais. 

Quel serait votre message à la Fédération et aux supporters ? 
Je suis là. Disponible. Motivé. Compétent. Si malgré tout cela je ne suis retenu pour aucun poste, alors il y a un vrai problème. Je peux être sélectionneur, adjoint, encadrant d’une autre catégorie… peu importe, tant que je peux servir le Syli. Ce que je veux, c’est redonner de la joie à ce peuple passionné, lui rendre cette flamme qu’il a perdue. Le football guinéen a besoin d’un nouveau départ. Et moi, je suis prêt à en être l’artisan. Merci à vous. 

Interview réalisée par Alseny Camara et Alseny Maciré Fofana

samedi 5 juillet 2025

SGMD25 : Gaoussou Touré, Nouveau Visage de la Mobilisation à Matam

Matam a franchi un cap historique ce 3 juillet 2025 avec l’installation officielle de sa coordination SGMD25. À sa tête, Gaoussou Touré, jeune leader dynamique, incarne désormais l’ambition collective d’un Matam engagé pour la paix, le dialogue et le développement. 
Soutenue par les cadres nationaux et régionaux de la Synergie Général Mamadi Doumbouya pour le Dialogue et la Paix, cette étape marque un tournant stratégique dans la mobilisation en faveur d’un “Oui” massif au référendum constitutionnel. Matam devient ainsi un pôle d’influence incontournable dans la refondation politique. 

La commune de Matam s’est hissée au-devant de la scène politique nationale ce jeudi 3 juillet 2025 en accueillant la coordination communale de la Synergie Général Mamadi Doumbouya pour le Dialogue et la Paix (SGMD25). Cet événement, fort en symboles et en engagement citoyen, s’inscrit dans une stratégie nationale de mobilisation autour des acquis de la transition, sous le leadership du Président Mamadi Doumbouya. 

La coordination de Matam est désormais entre les mains d’un trio de terrain, mené par Gaoussou Touré, jeune acteur engagé et figure ascendante de la commune. Il sera épaulé par Alhassane Condé en tant que vice-coordinateur et Alhassane Bissirou Soumah, secrétaire exécutif. 
Ensemble, ils porteront la vision de la SGMD25 sur le terrain, avec une mission claire : mobiliser les forces vives autour des valeurs de paix, d’unité nationale et de participation citoyenne. La cérémonie d’installation, empreinte de ferveur et d’enthousiasme, s’est déroulée en présence d’une forte délégation de la coordination nationale, conduite par l’Honorable Cheick Tidiane Traoré, secrétaire exécutif national de la SGMD25. 

Parmi les autres figures présentes : Ismaël Traoré, Aly Badara Conté et Alseny Marco Camara, ainsi que des représentants venus des coordinations de Dixinn, Forécariah et Kagbélen. 

Gaoussou Touré, dans son discours de circonstance, a tenu des propos forts qui ont galvanisé la foule : « Ce moment symbolise l’engagement d’un Matam debout, fier et résolument tourné vers l’avenir. 

J’assume cette responsabilité avec honneur, parce que notre commune mérite d’être une force motrice du changement. À travers la Synergie, nous allons transformer chaque quartier, chaque jeunesse, chaque voix en vecteur de progrès. » 

Le nouveau coordinateur a mis un accent particulier sur l’importance de l’implication des jeunes et des femmes, soulignant que la SGMD25 se veut une plateforme inclusive, ouverte à toutes les bonnes volontés. 

Il a aussi lancé un appel vibrant à la mobilisation pour le référendum constitutionnel à venir, appelant Matam à se hisser au sommet des communes les plus mobilisées : « Nous visons un plébiscite, un ‘Oui’ triomphant, comme une réponse claire à l’appel de la Nation. » 

De son côté, Ismaël Traoré a salué la vision du fondateur de la SGMD25, Kerfala Persan Camara, et rappelé l’objectif global du mouvement : construire une Guinée unie, apaisée et participative, avec le citoyen comme acteur central de la transformation. 
Avec cette installation, Matam devient la 12e commune de Conakry à accueillir officiellement une coordination SGMD25, plaçant ainsi la capitale à un pas de la couverture totale seule Ratoma reste à intégrer. Ce maillage progressif confirme la volonté du mouvement de s’implanter profondément dans le tissu social et politique du pays. 

La mobilisation à Matam n’est donc pas un acte isolé, mais bien une brique essentielle dans l’édifice d’une Guinée en transition, portée par une jeunesse engagée et des leaders de terrain comme Gaoussou Touré, qui incarnent la nouvelle génération de bâtisseurs d’un avenir commun. 

ALSENY CAMARA

France : Yamoussa Bangoura, l’Espoir Franco-Guinéen à la Tête des Wonkifongkés de la Diaspora

Jeune, ambitieux et résolument tourné vers l’avenir, Yamoussa Bangoura, franco-guinéen diplômé en management de l’INHNI de Toulouse, vient d’être élu président de l’association “Wonkifongkés à l’étranger”.
Porté par une vision claire et une détermination sans faille, il entend réinventer l'engagement communautaire, renforcer la cohésion des ressortissants de Wonkifong à l’étranger et impulser une dynamique de développement durable, innovante et collective. 

Son élection marque le début d’un nouveau chapitre pour cette structure associative en quête de modernisation et d’impact. 

Le vent du renouveau souffle sur la communauté des Wonkifongkés de la diaspora. 
À la suite d’un processus électoral participatif, Yamoussa Bangoura, un jeune franco-guinéen dynamique, a été porté à la tête de l’association “Wonkifongkés à l’étranger”. 

Résidant en France et détenteur d’une licence en management obtenue à l’Institut National de l’Hygiène et du Nettoyage Industriel (INHNI) de Toulouse, ce nouveau leader apporte un profil à la fois académique, pragmatique et engagé. 

À seulement quelques années de la trentaine, Yamoussa Bangoura incarne une nouvelle génération de leaders communautaires, capables de conjuguer les réalités locales aux opportunités mondiales. 

Son ambition ? Bâtir une communauté forte, unie et tournée vers l’innovation et la solidarité. Sa vision repose sur une stratégie inclusive où chaque membre devient acteur du changement. 

« Je suis animé par une volonté sincère de servir, de fédérer et de transformer notre association en un véritable levier de progrès pour notre communauté, tant sur le plan social, économique que culturel », a-t-il déclaré lors de son discours d’investiture. 

Un leadership fondé sur l’écoute, la concertation et l’action 
Conscient des enjeux de son mandat, M. Bangoura entend aligner les activités de l’association sur une mission claire : promouvoir le développement communautaire à travers l’unité, l’éducation, l’entrepreneuriat et la culture. 

Il prévoit, en collaboration avec le conseil d’administration, de mettre en place une stratégie globale articulée autour de plans d’action concrets, adaptés aux besoins réels des membres. Doté de qualités humaines rares, le nouveau président place la médiation, la communication constructive et l’inclusion au cœur de sa gouvernance. 

Il promet d’être un facilitateur de dialogue et de solutions dans les moments de divergence et de tensions. « Notre diversité est notre force. Il nous faut bâtir des ponts entre les générations, entre les aspirations individuelles et les intérêts collectifs », a-t-il affirmé. 

Un discours fédérateur et porteur d’espoir 
Dans un discours empreint de gratitude et d’engagement, Yamoussa Bangoura a su toucher les cœurs. Il a rendu hommage à l’esprit communautaire qui unit les ressortissants de Wonkifong vivant à l’étranger, tout en appelant à une mobilisation générale pour relever les défis à venir : 

« Ensemble, nous avons déjà accompli de grandes choses. Mais l’avenir est encore plus prometteur. En unissant nos efforts, en partageant nos talents et nos idées, nous pouvons atteindre des sommets insoupçonnés », a-t-il souligné. 

Une dynamique nouvelle pour la diaspora 
À travers cette élection, c’est une véritable renaissance associative qui s’annonce. Le président Bangoura prévoit de renforcer les liens avec les communautés locales, d’encourager les initiatives économiques portées par les jeunes de la diaspora, et de mettre en valeur la richesse culturelle du terroir de Wonkifong. 

Avec l’énergie de la jeunesse, la rigueur du management et la passion pour sa communauté, Yamoussa Bangoura s’apprête à marquer durablement l’histoire de l’association. Son mandat s’ouvre sous le signe du progrès, de l’unité et de l’espoir. 

Mohamed Koket Camara depuis Paris

dimanche 22 juin 2025

Alseny Sékou Bangoura : Le Juriste-Entrepreneur au Service de la Nation

Jeune, engagé et visionnaire, Alseny Sékou Bangoura incarne une nouvelle génération de leaders guinéens déterminés à inscrire leur action dans la transformation du pays. Juriste d’affaires de formation, PDG du Groupe Macof SA Guinée, et Président de la Fédération des Jeunes Leaders de Guinée (FEJLEG), il s’impose aujourd’hui comme une figure montante du leadership économique et social. Engagé aux côtés du CNRD pour la refondation de la Guinée, son parcours inspire, sa vision rassure, et son action.
Dans un contexte national marqué par de profondes mutations politiques, économiques et institutionnelles, de nouveaux visages émergent avec force et conviction. Parmi eux, Alseny Sékou Bangoura, jeune juriste d’affaires et entrepreneur aguerri, se distingue par sa double casquette d’homme d’affaires prospère et de leader engagé pour l’avenir de la Guinée.

Formé en droit des affaires, Alseny Sékou Bangoura fonde et dirige avec succès Macof SA Guinée, une entreprise dynamique évoluant dans plusieurs secteurs stratégiques du pays.

Sous sa direction, le groupe s’est imposé comme un acteur majeur de la création de valeur locale, en promouvant l’entrepreneuriat des jeunes, la transparence des affaires et l’innovation au service du développement durable. Son approche managériale inclusive et éthique fait de lui un modèle de leadership entrepreneurial en Afrique de l’Ouest. 

Mais au-delà de ses réussites dans le monde des affaires, Alseny Sékou Bangoura est également un fervent défenseur de la jeunesse guinéenne. À la tête de la Fédération des Jeunes Leaders de Guinée (FEJLEG), il milite activement pour l’éveil civique, la formation, l’autonomisation économique et l’implication politique des jeunes. Il croit fermement que la jeunesse constitue le socle du changement et le pilier de toute transformation durable. 

Son engagement politique et patriotique se manifeste également à travers son soutien constant aux actions du Comité National du Rassemblement pour le Développement (CNRD). Pour lui, la transition en cours est une opportunité historique de repenser les fondements de l’État, de réconcilier la nation avec ses aspirations profondes, et d’ouvrir de nouveaux horizons de développement inclusif.

“La Guinée a besoin d’une jeunesse debout, consciente et engagée. Il ne suffit plus de dénoncer, il faut agir, proposer, bâtir.” C’est en ces mots qu’il résume sa vision de leader et sa volonté de contribuer à l’émergence d’un État moderne, juste et prospère. 

Charismatique, accessible et animé par une foi inébranlable en l’avenir de la Guinée, Alseny Sékou Bangoura est sans conteste un acteur incontournable de la transition guinéenne. Entrepreneuriat, plaidoyer, leadership citoyen : il conjugue ses multiples talents pour faire de chaque défi, une opportunité. 

Naby Zakaria Touré

samedi 21 juin 2025

Djénabou Touré : La sentinelle électorale dont la Guinée a besoin

Au moment où la Guinée tourne une nouvelle page de son histoire politiqueavec la création de la Direction générale des Élections (DGE), il est impératif de confier cette mission cruciale à une personnalité dotée d'une vision, d'une expérience avérée et d'une intégrité sans faille.
En ce sens, Madame Camara Djénabou Touré, technocrate chevronnée, femme de terrain, patriote discrète et stratège électorale, s’impose comme l’évidence. 

Son parcours, marqué l’excellence et le service à la nation, en fait l’incarnation parfaite de la rigueur, de la compétence et de l’éthique dont la DGE a besoin pour garantir des élections libres, crédibles et apaisées. 

Une vision stratégique au service de la démocratie Par décret présidentiel du Général Mamadi Doumbouya en date du 14 juin 2025, la Direction générale des Élections a vu le jour, placée sous la tutelle du Ministère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation. 

Ce nouveau cadre institutionnel, pensé pour renforcer la gouvernance électorale, nécessite une direction experte, impartiale et résolument tournée vers le retour à l’ordre constitutionnel.

C’est là que s’illustre avec brio le profil de Madame Camara Djénabou Touré, dont la trajectoire impressionne par sa constance et son impact. Une expertise forgée sur le terrain et à l’international Titulaire d’un Diplôme d’Études Approfondies en Gestion et d’un Master en Gestion des Collectivités Territoriales, Madame Camara ne s’est pas contentée d’un parcours académique brillant : 

elle l’a miu service des communautés locales et de l’État, tant à l’échelle nationale qu’internationale. Actrice majeure du Programme National de Recensement à Vocation d’État Civil (PN-RAVEC), elle a contribué activement à moderniser le système d’état civil guinéen. 

Elle a affiné son expertise au gré de missions et formations en Belgique, en France et au Rwanda, des modèles reconnus en matière de gouvernance et de processus électoraux. 

Une femme d’action au cœur des institutions électorales Ancienne cadre de la CENA puis de la CENI, Madame Camara a toujours su conjuguer rigueur administrative et sens du dialogue. Elle a joué un rôle central dans le cadre de dialogue national instauré par le CNRD, posant les bases d’une concertation inclusive. 

Lauréate du prix « Femme de l’année » décerné par Le Journal des Actes Posés, elle a gagné la confiance du Président de la République qui l’a nommée Directrice nationale chargée des Affaires Politiques et de l’Administration Électorale. 
Leadership féminin, rigueur et intégrité Au-delà de ses fonctions, Madame Camara est une femme de principes. Épouse, mère, humble et résolue, elle incarne un leadership féminin rare, à la fois discret et profondément efficace.

Son calme inspire confiance, sa détermination rassure, et son sens élevé de l’État la distingue dans un environnement souvent marqué par les enjeux partisans. 

Elle place toujours l’intérêt supérieur de la nation au-dessus des ambitions personnelles. Une chance historique pour sortir de l’impasse Dans un contexte marqué par la recherche d’un retour apaisé à l’ordre constitutionnel, sa nomination à la tête de la DGE représenterait une opportunité historique. 

Son profil rassure aussi bien les acteurs politiques que les partenaires techniques et financiers. Elle incarne une nouvelle génération d’administrateurs électoraux : compétents, intègres, patriotes et sensibles à la paix sociale.

Comme le disait un auteur anonyme : « Voir le possible là où les autres voient l’impossible, telle est la clé du succès. » Madame Camara Djénabou Touré est cette clé. Elle est prête à ouvrir les portes d’une ère électorale nouvelle, empreinte de confiance, de transparence et de stabilité. 

Naby Zakaria Touré

mercredi 18 juin 2025

TRIBUNE /UFDG: CHRONIQUE D'UN NAUFRAGE ANNONCÉ

Quand l'échec d'un homme fait fuir les meilleurs 
Par Mamadou Bailo Diallo, secrétaire à la communication, le mouvement des réformateurs UFDG France, porte-parole, militant du parti depuis juillet 2003 sous l'ère bah Mamadou. 

Face à la déliquescence interne de l'UFDG et au départ des figures de proue qui en faisaient la vitalité, le silence des responsables est aussi assourdissant que révélateur. 

Dans cette tribune incisive, Mamadou Bailo Diallo, cadre actif du parti basé en France, appelle à une refondation urgente et identifie en Ousmane Gaoual Diallo l'alternative crédible pour ouvrir une nouvelle page politique. 

Quand les mots ne suffisent plus à couvrir les fissures Le silence qui règne aujourd'hui au sein de l'UFDG n'est pas un hasard : il est le résultat d'un affaissement profond du leadership, d'une fatigue idéologique et d'un enfermement stratégique. Pendant que certains s'emploient à parler fort, à multiplier les attaques et les invectives, c'est bien pour tenter de masquer le vide qu'ils ont eux-mêmes contribué à créer. 

Le départ progressif des cerveaux, des bâtisseurs, des cadres techniques et des pionniers du parti n'est pas un caprice d'ambition personnelle. C'est un signal d'alarme, une réaction saine face à la dérive d'un navire sans capitaine, qui tangue dans les eaux troubles d'un marais politique sans boussole. 

Cellou Dalein Diallo : un leadership arrivé à bout de souffle Personne ne saurait nier l'apport considérable de Cellou Dalein Diallo dans l'ancrage politique de l'UFDG et dans le combat pour l'alternance en Guinée. Mais en politique, les résultats sont les seuls juges.

Depuis 2007, l'homme incarne un espoir souvent déçu. Son score au premier tour de la présidentielle de 2010 restera historique, mais le rêve s'est effondré. Pourquoi ? Parce que la lucidité a manqué. L'excès de confiance, le manque d'anticipation, l'isolement progressif de la base et des cadres ont fini par délégitimer un leadership autrefois incontesté. 

Diriger un parti ne consiste pas uniquement à mobiliser; il faut aussi savoir déléguer, transmettre, faire émerger d'autres talents, et parfois s'effacer au nom de l'intérêt général. Cellou Dalein, hélas, n'a su faire ni l'un ni l'autre. Un nouveau visage pour un nouveau souffle: Ousmane Gaoual Diallo Aujourd'hui, l'avenir de l'UFDG ne peut reposer sur la nostalgie ni sur la peur du changement. 

Il est temps de croire en un renouveau. Et ce renouveau porte un nom : Ousmane Gaoual Diallo. Souvent critiqué, caricaturé ou attaqué, il demeure pourtant l'un des rares cadres du parti à avoir allié engagement de terrain, sens de l'État et fidélité aux idéaux de justice et de démocratie. 

Sa participation au gouvernement n'est ni un reniement, ni une compromission, mais l'expression d'un pragmatisme patriotique servir le pays là où les leviers d'action sont réels. Il n'a jamais tourné le dos à ses électeurs, ni à l'UFDG. Au contraire, il incarne cette nouvelle génération capable de conjuguer modernité, loyauté et efficacité. 

Plus jamais le cauchemar de 2010 Le changement à la tête du parti n'est plus une option. C'est une urgence. Ceux qui s'accrochent à la direction comme à un privilège personnel oublient que le parti ne leur appartient pas. Il appartient à ses militants, à sa base, à ses idées.

Aussi longtemps que la vie politique demeurera active, plus jamais un leader à l'image de Cellou Dalein Diallo ne devra incarner l'UFDG, si c'est pour nous replonger dans les frustrations et les désillusions du passé. 

L'heure est à la reconstruction, à l'ouverture, à la vérité. L'avenir du parti passe par le courage de la rupture. 

Mamadou Bailo Diallo secrétaire à la communication, du mouvement des réformateurs UFDG France, porte- parole du mouvement des réformateurs de l'Union Des Forces Démocratiques de Guinée, Fédération, France.


Aboubacar Camara alerte : « Quand les puissants s’affrontent, l’Afrique s’effondre »

Dans une prise de parole rare mais vibrante, Aboubacar Camara, transitaire de profession et citoyen guinéen, pousse un cri du cœur face au conflit latent entre Israël et l’Iran. À travers ses mots simples mais puissants, il pointe l’absurdité de cette guerre de puissances et ses conséquences désastreuses pour les peuples du Sud. Dans ce plaidoyer pour la paix et la diplomatie, il interpelle les grandes puissances internationales, leur rappelant que leurs conflits ne sont jamais sans effet sur les pays les plus vulnérables, notamment en Afrique. 
Je suis Aboubacar Camara, citoyen guinéen et transitaire de profession. En tant qu’homme du peuple, africain, observateur des réalités mondiales, je ne peux rester silencieux face à ce qui se joue entre Israël et l’Iran. 

Cette confrontation grandissante entre deux puissances, teintée de menaces nucléaires, m’apparaît profondément absurde, injuste et dangereuse pour l’humanité, surtout pour nous, Africains, souvent relégués au rang de dommages collatéraux. 

Je m’interroge : avec quelle légitimité Israël peut-il interdire à l’Iran de développer une puissance nucléaire alors qu’il n’a lui-même jamais ratifié la Convention de Rome ni adhéré formellement aux règles contraignantes sur la non-prolifération des armes nucléaires ?

Comment un pays, aussi influent soit-il, peut-il s’arroger le droit de dicter sa loi à un autre État souverain, sans passer par les instances internationales habilitées, telles que l’ONU ou l’AIEA ? Certes, il est vrai que l’Iran tient parfois des propos alarmants à l’encontre d’Israël, allant jusqu’à proférer des menaces d’effacement. 

Mais la réponse à ces provocations ne peut et ne doit jamais être l’escalade militaire. La seule voie acceptable dans un monde civilisé est celle du dialogue, de la diplomatie, de la médiation. Car, comme l’histoire nous l’a montré, aucune guerre n’a jamais résolu durablement un conflit. 

Elle ne fait qu’ajouter douleur, ruine, et instabilité. Ce conflit ne nous concerne peut-être pas directement, mais ses répercussions nous touchent de plein fouet : hausse des prix du carburant, déséquilibres économiques, incertitude géopolitique. Ce sont les pays comme la Guinée, les peuples africains, les économies fragiles qui paient le prix des affrontements entre les géants du monde. 

Voilà pourquoi je lance un appel pressant aux grandes puissances : États-Unis, Russie, Chine, Union européenne, pays du Golfe, mais aussi à toutes les forces morales et humanistes de ce monde. Il est temps d’agir pour la paix, pas pour la suprématie. 

Il est temps de parler, de désarmer, de respecter le droit international, et de protéger ceux qui n’ont ni missiles ni tribunes, mais qui subissent en silence. Je vous en conjure : stoppez cette marche vers l’abîme. 

Mettez fin aux provocations, engagez le dialogue, et rappelez-vous que, lorsqu’un conflit éclate entre les puissants, ce sont toujours les faibles qui enterrent leurs morts. 

 Alseny Camara

mercredi 7 mai 2025

Matam : le PDS Badra Koné lance les activités des projets de construction d’une maison des jeunes et la rénovation d’un centre de santé

Le centre de santé Madina, situé dans le quartier Madina Marché sera rénové et agrandi et le quartier Bonfi bénéficiera bientôt d’une maison des jeunes moderne tout situé dans la commune urbaine de Matam. C’est ce mardi 06 avril 2025 que le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné a officiellement lancé les activités de ces projets qui vont impactés positivement la vie des populations locales en posant la première pierre des travaux de rénovation du centre de santé de Madina Marché et la construction d’une maison des jeunes à Bonfi.
« Je me réjouis de prendre la parole ce matin à l’occasion du projet de rénovation et d’extension en hauteur (R+1) du centre de santé de Madina dans le cadre du programme annuel d’investissement 2024 de la commune de Matam. Avant tout propos, je voudrais saisir l’opportunité de la présente cérémonie pour adresser au nom de la délégation spéciale, des populations de Matam et en mon nom propre, notre reconnaissance au général Mamadi Doumbouya, président de la République, pour avoir impulsé ce programme social en le plaçant au cœur de l’action gouvernementale, et surtout pour avoir permis à Matam d’être inscrite au titre des heureux bénéficiaires », a confié le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné. 

Il a par ailleurs, profité de l’occasion pour rassurer les populations de Matam quant à sa volonté sincère de transformer l’image de la commune, avant de remercier et prier pour la gouverneure de la ville de Conakry, Hadja M’mahawa Sylla. « Que Dieu garde longtemps Mme la gouverneure, Hadja M’mahawa Sylla auprès de nous. Elle ne ménage aucun effort pour atteindre les objectifs fixés, aussi bien au niveau des 13 communes de Conakry que pour l’ensemble de la région ouest-africaine. Je demande à la population de Matam de lui exprimer sa gratitude. Aujourd’hui, ce que nous voulons, c’est le progrès de notre commune. »
En outre, le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné a rappelé l’importance de préserver les biens publics de Matam. « Si nous ne savons pas valoriser nos maisons de jeunes, nos hôpitaux ou nos cimetières, alors nous échouons. Les biens publics doivent profiter à tous et ne jamais être détournés à des fins personnelles ». Selon Sory Mohamed Fofana de l’entreprise ETS ALIOU et FRÈRES qui pilote le projet, « le projet comprend plusieurs volets : la construction d’un bloc de latrines de 14 cabines. L’édification d’un centre de santé répondant aux normes de LRST.

L’aménagement de la cour du centre. Le bâtiment principal sera constitué de deux niveaux : -Rez-de-chaussée : -Deux bureaux, -Une salle de stockage, -Une salle de réfectoire, -Un magasin, -Premier étage (R+1) :, -Quatre bureaux, -Une salle d’attente, -Une salle polyvalente, Trois toilettes ». Moussa Camara, le chef de quartier de Madina Marché, a exprimé sa satisfaction. « Nous enregistrons plus de 2 000 visiteurs par jour. Madina est un carrefour où tout le monde passe. 

Ce centre rénové va soulager la population et améliorer considérablement la prise en charge sanitaire dans notre localité. C’est une véritable fierté. » A Bonfi, le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné a laissé entendre ceci : « mes cinq années en tant qu’adjoint au maire m’ont permis de mieux comprendre les besoins des citoyens. Dès ma nomination, j’ai tenu à aller sur le terrain avec toute mon équipe pour identifier les problèmes réels de la population. Cette infrastructure offrira à notre jeunesse un cadre d’échange, d’encadrement et d’épanouissement, en droite ligne avec les objectifs du programme Simandou 2024 de la transition. »
Bien avant la livraison de cette maison des jeunes aux normes modernes et futuristes, les habitants de Bonfi se sont montrés heureux de l’accueillir. La preuve, ils sont sortis nombreux assister à la cérémonie de lancement des travaux de construction de leur maison des jeunes. « Ce foyer des jeunes servira à accueillir les activités socio-culturelles de notre quartier. 

Nous profitons de l’occasion pour traduire notre reconnaissance au président de la République, général Mamadi Doumbouya, au gouvernement de transition, à Mme la gouverneure de la ville de Conakry, Hadja M’mahawa Sylla et au Président de la Délégation Spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickhna Koné et à toute son équipe d’avoir permis à Bonfi d’avoir une maison des jeunes. M. le Président de la Délégation Spéciale de Matam nous a aussi honorés en procédant au lancement des activités de projets de construction de cette maison des jeunes », a salué Fodé Momo Sylla, le chef de quartier de Bonfi.
Le chef de quartier de Bonfi, a lancé un appel à ses concitoyens pour qu’ils veillent activement à la bonne exécution de ce projet, pour le bien de tous. « Cette cérémonie de pose de la première pierre marque non seulement le début d’un projet structurant pour la jeunesse de Bonfi, mais elle symbolise aussi l’engagement concret du Président de la Délégation Spéciale de Matam Aliou Badara Cheickhna Koné et de son équipe à répondre aux aspirations locales. 

À travers cette initiative, la commune de Matam renforce sa volonté de créer des espaces d’épanouissement, de formation et de cohésion sociale pour ses jeunes, véritables piliers de l’avenir », souligne le chef de quartier de Bonfi. 

Alseny Camara

lundi 21 avril 2025

Fête de Pâques à Matam : les fidèles chrétiens appelés à prier pour la paix et l’unité nationale

Après quarante jours de jeûne et de prière, la Pâque a été célébrée dans les temples et églises de la Guinée, dans la ferveur, ce dimanche 20 avril 2025. La célébration de la pâque est pour les chrétiens un événement d’une portée hautement spirituelle. Car elle symbolise la résurrection du Christ, la victoire de la mort sur la vie.
A cette occasion, le premier magistrat de la commune de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné, a, en sa qualité de président de la délégation spéciale de Matam, exhorté les fidèles chrétiens de la République de Guinée en générale et celle de la communauté chrétienne de Matam en particulier à prier sans relâche afin que le Tout-Puissant bénisse chaque jour notre pays et ses habitants. Priez pour le président de la République le Général Mamadi Doumbouya et pour les dirigeants de notre pays, et priez pour l’unité nationale, mais surtout prier pour la paix, cette denrée précieuse pour notre chère patrie la Guinée. 

A cette occasion de la commémoration de la résurrection de Jésus Christ, le président de la délégation spéciale de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné, à au nom de toute la municipalité de Matam, « je tiens à vous adresser nos plus chaleureuses pensées en cette période de Pâques. Que cette fête remplie de sens et de renouveau soit pour vous l'occasion de célébrer dans la joie et la sérénité, entourés de vos proches.

En ces temps où la solidarité et l'espoir sont plus que jamais nécessaires, que la lumière de Pâques illumine vos cœurs et vous apporte le réconfort et inspiration. Puisse cette période festive être synonyme de paix, d'amour, de partage et de fraternité entre tous les fils et filles de notre nation. Amen », a-t-il déclaré le PDS de Matam, Aliou Badra Cheickna Koné. 

Alseny Camara

mercredi 16 avril 2025

Gratuité de la carte d’identité biométrique et acte de naissance numérisé : le PDS Badra Koné appelle ses concitoyens de Matam à la mobilisation, pour bénéficier ses droits fondamentaux

Le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Badra Aliou Cheickna Koné, a lancé un appel à la mobilisation de la population de sa circonscription autour du processus de la gratuité de la délivrance de la carte nationale d’identité biométrique et de l’extrait d’acte de naissance numérique pour tous les Guinéens, ce mardi 15 avril 2025, dans l’enceinte de la mairie de Matam, lors du lancement de cette opération.
L’objectif principal de cette opération est de doter les services de l’état civil guinéen des données personnelles fiables, mais aussi elle consiste à donner gratuitement à chaque citoyen guinéen une carte nationale d’identité biométrique et de l’extrait de naissance numérique, afin de s’acquitter de leurs droits fondamentaux. 

Après avoir lancé officiellement, cette opération de recensement biométrique, le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Badra Aliou Cheikna Koné a saisi cette occasion pour sensibiliser les populations de sa circonscription sur les valeurs de ces documents fondamentaux, « C’est une obligation pour tout bon citoyen de se faire recenser. Être citoyen ne se limite pas à porter le nom de citoyen guinéen. C’est aussi être reconnu par l’État comme tel, bénéficier de ses droits fondamentaux, et pouvoir voter. »
Par ailleurs, le Président de la Délégation Spéciale de Matam, Badra Aliou Cheikna Koné a appelé les habitants de sa commune à se mobiliser pour se faire recenser, afin qu’ils puissent bénéficier de leurs droits fondamentaux. « En tant que premier citoyen de la commune de Matam, je viens de montrer l’exemple en me faisant enrôler publiquement. 

Dans les jours à venir, nous mènerons une campagne de sensibilisation pour mobiliser massivement les populations, afin que chacun joue pleinement sa partition. Nous veillerons à ce que toutes les personnes ayant atteint l’âge requis figurent dans la base de données de l’état civil guinéen », a affirmé le maire Badra Koné. 

A rappeler que, c’était le dimanche 02 février 2025 que le président général Mamadi Doumbouya a pris cet acte majeur dans un décret lu sur la télévision nationale (RTG) par le Général Amara Camara, porte-parole de la Présidence, le Chef de l’État a instauré la gratuité dans la délivrance de la carte d’identité nationale biométrique en Guinée.
Notons que, les conditions pour bénéficier de la gratuité de la carte d’identité biométrique, selon l’arrêté conjoint signé le 25 mars 2025 par les ministres de l’Administration du territoire, de la Sécurité et de la Protection civile, et celui des Affaires étrangères. Fixant les conditions et modalités d’application du décret D/2025/021/PRG/CNRD/SGG instaurant la gratuité de la carte nationale d’identité biométrique pour la première demande en République de Guinée. 

Les citoyens devront fournir l’un des documents ci-après. 
Pour l’obtention d’un extrait de naissance numérisé: l’ancien extrait de naissance, le jugement supplétif transcrit, la fiche d’identification du PN RAVEC. 

Pour l’obtention de la carte nationale d’identité biométrique: l’extrait de naissance numérique. 

Alseny Camara

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